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REVOIR LA MISE EN PAGE ET LA MISE EN FORME DE TOUT LE DOCUMENTFigures et TableauxFigure 1. Cartes des neufs modeles de la biodiversité mondiale(Source: Brooks et al., 2006) ![]() Figure 2. Zonage![]() Figure 3. Aménagement d’aire protégée dans la région floristique du Cap(Source : Reproduit à partir de Trends in Ecology and Evolution 18(9), Balmford, A., Conservation planning in the real world: South Africa shows the way, 435-438, Copyright 2003, avec l'autorisation d'Elsevier.) ![]() (Il y a encore une 4e figure qui devrait être placée ici mais qui n’a pas pu être copiée, figure montrant l’Analyse des carences)Tableau 1. Types d’aires protégées inclues dans le système mondial(PNUE, 2003). Chaque entrée dans la Liste des aires protégées des Nations Unies comprend généralement des informations pour chaque pays en matière suivant le nom de l’AP, les coordonnées géographiques, la taille, la catégorie UICN si possible et l'année de création. Type de APExemples (Chape et al., 2003)Sites nationaux – zones créées au niveau national Parcs nationaux, réserves naturelles, sanctuaires de la natureSites Internationaaux – Zones désignées par des outils internationaux ou des traités Patrimoines mondiaux. La convention sur la Protection des patrimoines culturels et naturels mondiaux vise à protéger les zones de circulation biens culturels, naturels ou à valeur mixte, la promotion de la coopération internationale dans la sauvegarde de ces zones importantes. La Convention a été créé à Paris en 1972, et est entré en vigueur en 1975. Les Réserves de l’Homme et la Biosphère. Les Réserves du Programme L'homme et la biosphère (MAB-UNESCO) de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture sont des écosystèmes reconnus au niveau mondial où la conservation de la biodiversité et l'utilisation durable sont des objectifs liés. Ces sites terrestres et marins sont destinés à promouvoir et à démontrer une relation équilibrée entre les hommes et la nature". Les réserves sont proposées par les gouvernements nationaux et restent sous leur juridiction souveraine. Les zones humides d’importance internationale (Sites Ramsar). La Convention relative aux zones humides d'importance internationale particulièrement comme habitats des oiseaux d'eau (Ramsar, Iran, 1971) fournit un cadre pour la coopération internationale dans la conservation des habitats des zones humides dans les territoires des États signataires. La Convention a été signée à Ramsar, en Iran, en 1971, et est entré en vigueur en 1975 (Encadré 2).La Directive de la Commission européenne sur la conservation des oiseaux sauvages (Directive "oiseaux", 1979). Désigne les zones spéciales protégées (ZPS) déclarées par l'Union Européenne et les États membres en réponse à la directive «Oiseaux» pour protéger la faune aviaire et leurs habitats. La directive "Oiseaux" est entré en vigueur en 1981 et impose des obligations juridiques à l'Union européenne pour maintenir les populations naturelles d’oiseaux sauvages à des niveaux correspondant aux exigences écologiques, à réglementer le commerce des oiseaux, à limiter la chasse des espèces en mesure de soutenir l'exploitation, et à interdire certaines méthodes de capture et de mise à mort. Autres accords régionaux relatifs aux AP impliquant la création de nouveaux parcs. Réserves biogénétiques (Conseil de l’Europe); Aire spécialement protégée d'intérêt méditerranéen (Convention de Barcelone); Aires spéciales de Conservation (Directives Habitat EC), Aires protégées marines dans la mer Baltique (Convention d’Helsinki), Parcs et Réserves patrimoines de l’Association des Nations du Sud-Est asiatique (ANASE) (Déclaration de l’ANASE sur les Parcs et Reserves Patrimoines). Tableau 2. categories UICN d’aires protegeesCatégorie IaRéserve Naturelle Intégrale : aire protégée gérée principalement à des fins scientifiques ou de protection des ressources sauvagesCatégorie IbZone de Nature sauvage : aire protégée gérée principalement à des fins de protection des ressources sauvagesCatégorie IIParc national : aire protégée gérée principalement dans le but de protéger les écosystèmes et à des fins recréativesCatégorie IIIMonument naturel : aire protégée gérée principalement dans le but de préserver des éléments naturels spécifiquesCatégorie IVAire de gestion des habitats ou des espèces : aire protégée gérée principalement à des fins de conservation, avec intervention au niveau de la gestionCatégorie VPaysage terrestre ou marin protégé : aire protégée gérée principalement dans le but d'assurer la conservation de paysages terrestres ou marins et à des fins récréativesCatégorie VIAire Protégée de ressources naturelles gérée : aire protégée gérée principalement à des fins d'utilisation durable des écosystèmes naturels(Adapté de “http://www.unep- wcmc.org/protected_areas/categories/) Tableau 3. Zonage dans les aires protégées marinesZoneSynonymesButActivités autoriséesActivités interditesRéserve Marine Prise interdite, accès interditContre les processus préjudiciables; s’attelle aux objectifs de gestion dela conservation et de la pêche; fournit une assurance contre l'échec de gestion (NAS 2001; Agardy 2000).LimitéesPrise, accèsAccès restreintSanctuaires, no-take areasRépond à des objectifs d'utilisation durable, attire l'attention et le soutien du public; source de revenu par l'écotourisme; fierté dans l'implication de la communauté; avantages au niveau de la pêche et de la conservation Activité publique limitée, tels que natation, plongée sous-marine et écotourismeExtraction , PriseRéserve généraleS’occupe des intérêts des parties prenantesAccès et prise réglementés; écotourisme, activité restreinte de pêche, recherche, éducation; loisirsPratriques destructricesZone tamponZones à usage traditionnelle; réserves partiellesTampon entre le parc et ses environs; potentiellement capable de protéger les domaines essentiels des polluants et autres menaces; la conservation intégrée et les projets de développement (CIPDs), ainsi que l’accès à l'éducation et les services administratifs, sont souvent logés dans la zone tampon. Entrée, prisePratiques destructricesGlossaire (TOUS LES NOTES DE BAS DE PAGES DEVRONT SE TROUVER DANS LES GLOSSAIRES)UICN: L’Union Internationale pour la Conservation de la Nature et des Ressources naturelles, connue aussi sous le nom Union Mondiale pour la Nature (www.iucn.org). Diversité biologique: La variété de la vie sur Terre à tous les niveaux, des gènes aux écosystèmes, et les processus écologiques et évolutifs qui la soutiennent. Réseau: Un groupe d’aires protégées qui sont liées. Paysages: Zones qui contiennent des collections ou des écosystèmes hétérogènes. Communauté: Un groupe de plantes ou d’animaux qui occupent un environnement partagé et qui interagissent. Ecosystème: Un assemblage d’organismes et l’environnement physique dans lequel il échange de l’énergie et la matière. Landscapes: Zones qui contiennent des collections ou des écosystèmes hétérogènes. Biogéographique: Une aire géographique délimitée qui utilise la présence d’espèces variables, vivantes et fossilisées. Processus écologique: Les interactions entre organismes, entre communautés, et entre organismes et ressources abiotiques. Zones: Superficies à l’intérieur d’une aire protégée qui présente des niveaux de protection différents within a protected area that have different levels of protection. Biomes: Représentent la variation écologique à l’échelle mondiale dans la structure, les dynamiques, et la compléxité des communautés biologiques et des écosystèmes. Dispersion: La propagation d'organismes à l’échelle physique, comme les graines ou les individus, ou le fait de s'écarter du site de naissance. Corridor: Une bande de végétation ou d’habitat qui relie des zones fragmentées, ayant été historiquement connectées. Le but est de permettre le mouvement entre deux fragments. Espèces phares: Animaux ou plantes qui génèrent un grand intérêt populaire; souvent utilisées dans la conservation pour protéger les espèces charismatiques qui partagent un habitat avec les espèces phares. Espèce indicatrice: Une espèce dont le bien-être est considéré comme étant le reflet de l'état de certains conditions/processus écologique ou environnemental générales. Espèce parapluie: Une espèce dont la protection servira aussi de protection pour d’autres espèces, généralement à travers la préservation de l’habitat. Espèce clé de voûte: Une espèce qui joue exceptionnellement un rôle important dans la préservation de la fonctionnalité et de la diversité de leur communauté. Processus écologique: Les interactions entre organismes, entre communautés, et entre organismes et ressources abiotiques. Richesse en espèces: Le nombre des différentes espèces dans une zone. Diversité en espèces: Une mesure de la richesse en espèces, mais mesurée pour exprimer l’abondance basée soit sur le nombre d’individus soit sur la biomasse de chaque espèce. Particularité phylogénétique: Une mesure de la particularité évolutive d’une espèce relativement à d’autres. Endémicité: Quand un organisme est natif à, ou trouvé, dans une seule zone seulement. Source: Une population à partir de laquelle des individus émigrent pour d’autres endroits. Puits: Une population qui ne peut pas s’entretenir et s'appuie sur l'immigration pour survivre. Domaines: Régions à l’échelle continentale se distinguant par un biota caractéristique qui reflète les mêmes évolutions de l’histoire. Replication: L’inclusion de plusieurs zones à habitat similaire à l’intérieur d’une réserve ou d’un réseau. Lisière: La zone de transition entre deux habitats différents. Partie prenante: Une personne ou un groupe de personnes ayant un intérêt dans tout impact que pourrait avoir une action. Analyse des carences: Une analyse qui se sert de la cartographie (principalement en utilisant les systèmes d'information géographique - SIG) pour découvrir les domaines qui ne sont pas protégés dans le cadre des efforts de conservation. Algorithmes de sélection d’une réserve: Des algorithmes fondés sur des règles, statistiques ou mathématiques, utilisés pour construire des réserves, des systèmes et des réseaux en fonction des spécifications des utilisateurs. |