Bibliographie du dossier sur la philosophie : 21 Weber et le discernement du bien et du vrai dans "Le Savant et le politique" 21 Comte-Sponville André, 1995, interview à Sciences Humaines, janvier, pour 1994, Valeur et Vérité;








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Réflexions du thésard sur Le Sens des valeurs : 97

Les processus cognitifs non conscients : une limite aux théories judicatoires... ou leur confirmation ? 97

Une objection au reproche par R. Boudon du « causalisme » de l’hypothèse naturaliste de Wilson 98

Objection à l’objection de R. Boudon à M. Ruse : la question de l’explication de la diversité des réactions morales ne peut pas faire l’économie de la plurigénie combinatoire 99

BOUDON Raymond, 1999, La théorie des valeurs de Scheler vue depuis la théorie des valeurs de la sociologie classique, Les travaux du Gemas, n° 6, GEMAS/CNRS ; 99

Scheler : les valeurs, un sens objectif 99

L’évolution des valeurs n’infirme pas leur objectivité 99

Simmel : l’objectivité des valeurs artistiques 99

Tocqueville : une sélection irréversible des valeurs 99

Weber  : les valeurs en concurrence dans un processus de rationalisation 100

Durkheim : l’adhésion aux valeurs n’est pas une illusion 100

Scheler, intuitionniste contre le rationalisme des sociologues classiques 100

Scheler motivé la confirmation de sa foi catholique... et parfois teintée de dogmatisme 100

Scheler ni kantien ni utilitariste 100

Scheler contre l’acceptation kantienne de l’homme sensitif humien et de l’homme égoïste hobbesien 100

Scheler contre l’implication kantienne du nécessaire par le bon, du prescriptif par l’axiologique 101

Scheler contre la nécessité d’autorité dans l’ordre social 101

Scheler comme Durkheim : il y a des choses « bonnes » comme il y a des choses « vraies » 101

Scheler contre Kant : il y a une émotion des valeurs morales 101

L’anthropologie morale kantienne explique mal de nombreux phénomènes 101

Scheler (et RB et Smith) : contre l’utilitarisme, certaines valeurs ne sont pas liées à l’intérêt personnel 101

Scheler : le « bien » ne se réduit pas au plaisir qu’on a à le faire 102

Scheler : l’axiologique ne peut pas être tiré du factuel ; la vie est amorale 102

Scheler contre les évolutionnistes normatifs (Comte, Malthus, Darwin, Spencer) 102

RB contre l’anthropologie morale évolutionniste (comme celle de M. Ruse) 102

Scheler inspiré de Hume pour dissocier l’impératif de l’indicatif 103

La distinction par Scheler du bien et du mal est analogue à celle par Durkheim du sacré et du profane 103

Luckmann : transcendance, fins, nature 103

Scheler (et RB) : l’homme a la spécificité de « transcender » sa nature 103

Scheler contre Simmel, et Durkheim contre Kant : le bien ne se réduit pas au devoir 103

Scheler reproche à Smith de vouloir expliquer les valeurs morales par des raisons de l’acteur 103

RB : parce que le comportement d’un homme « sain » peut se comprendre sans appel à la neurobiologie, Scheler aurait été anti-naturaliste 104

La valeur schelerienne, contre Smith et avec Pascal, est liée à une émotion (donc à la biologie du comportement, donc ne rejette pas le naturalisme) 104

L’anthropologie axiologique de Scheler est intuitionniste 104

La théorie de Scheler est intéressante parce qu’elle veut prendre en compte tous les faits connus 104

Scheler et Durkheim contre les anthropologies marxistes et nietzchéennes de l’illusion 105

Emotion : négative ou positive, répulsion ou attirance (Liebe) 105

Une hiérarchisation des plaisirs 105

Emotion également dans les relations entre valeurs 105

Universalité et objectivité des hiérarchies entre valeurs 105

Simmel, précurseur de Scheler dans « l’objectivité des valeurs » 105

Les valeurs en art sont-elles « objectives » ou crues comme objectives par l’acteur ? 105

La personne est un assortiment unique de valeurs 106

Conviction de bien-fondé du gréviste et certitude d’existence de valeurs fondamentales 106

La croyance de l’acteur à l’objectivité de ses valeurs : « l’objectivité » des valeurs 106

Emotion et intuition des valeurs 106

La « Neigung » schelerienne : le sens intuitif, préréflexif, du « sacré » et des valeurs 106

L’émotion axiologique : clivée en attraction/répulsion, d’origine occulte et « câblée » 106

Une disposition universelle, variable, produisant néanmoins une valeur « objective » 107

Les valeurs sont indéterminées 107

Les créateurs de valeur sont très estimés 107

Saint Paul, initiateur de l’égalité de dignité entre les hommes 107

Scheler/RB : l’indétermination axiologique permet l’innovation 107

L’innovation axiologique n’est pas contradictoire avec « l’objectivité » des valeurs 107

Le « ressentiment » schelerien 108

Le ressentiment ne suffit pas néanmoins à expliquer la diffusion massive de valeurs 108

Le ressentiment schelerien explique la volte-face idéologique de l’apostat 108

Le ressentiment explique l’adhésion idéologique 108

Scheler (selon RB) : le relativiste ne voit pas qu’il existe des valeurs « objectives », qui sont les « bonnes » 108

Le fait d’être contredit dans les valeurs qu’on croit bonnes développerait le relativisme et « émousserait » la perception des valeurs 108

Des facteurs cognitifs peuvent faire varier les valeurs collectives 108

Les valeurs sont un mélange d’universel et de local, et il faut tenir compte, pour les interpréter, des variations culturelles 109

Les normes, déduites d’un contexte particulier, ne sont pas des conséquences directes des valeurs 109

Scheler s’écarte de l’aristotélicienne « détermination naturelle » des valeurs et des normes 109

[Les valeurs présentent toujours des éléments issus de la culture locale] 109

Des valeurs aux normes 109

[Scheler rejette le relativisme, cherche à montrer une « objectivité des valeurs » et à trouver une signification morale du monde] 109

Tocqueville : c’est l’avènement de la démocratie qui développe l’idée d’égalité de dignité entre les hommes 110

Tocqueville : il est difficile de s’opposer à une idée lorsque le contexte lui est favorable, ce qui cause son irréversibilité 110

Contre « l’adaptativité » morale d’un Spencer 110

Tocqueville, Durkheim, Weber : l’innovation axiologique produite par des contingences 110

Un exemple de « progrès moral » analysé par Scheler : la notion de « personne » 111

Le « progrès moral » schelerien ne s’interroge pas sur ses conditions sociales d’apparition 111

RB : les catégories s’imposent à nous parce qu’elles désignent 111

Contre Scheler : toute réaction affective (face à un acte ou un objet d’art) a des raisons (même méta-consciences) 112

Les jugements moraux sont motivés par des raisons 112

[Scheler croit en un « progrès moral » de l’humanité] 113

Louis Dumont, anthropologue de l’inégalité (et partisan de la hiérarchie ?) 113

Les sociologues, la dignité de la personne et les institutions 113

Scheler : une universalité de la disposition à appréhender les valeurs et une relativité de leur contenu 113

Les ethos sont multiples, relatifs et ne peuvent pas être jugés 113

Le « progrès moral » de Scheler s’apparente au progrès artistique, qui s’enrichit ; plutôt qu’au scientifique, qui substitue 113

Contre Scheler, les sociologues classiques voient le « progrès moral » comme une succession de changements tranchés 113

RB : la dignité de la personne, comme « point de fuite » du progrès moral 114

Durkheim : le sacré (ou les « valeurs ») sont distincts des phénomènes, mais se fondent sur une interprétation « rationelle » de ces phénomènes 114

RB : les sentiments d’ordre moral ou religieux sont liés à des théories, à des connaissances 114

La morale, puisée à l’héritage religieux comme théorie interprétative du monde ; de l’importance et de la pertinence du modèle judicatoire de Smith 114

RB : l’indignation morale est produite par une théorie 114

Une hypothèse judicatoire des valeurs morale explique le « progrès moral » 115

A la fois interprétation et distinction du fait et de la valeur 115

La rationalité axiologique semble plus fine que l’intuitionnisme de Scheler 115

Scheler : il y a un aspect de la valeur irréductible à des faits extra-mentaux 116

BOUDON Raymond, 1998, « Le phénomène idéologique : en marge d’une lecture de Pareto », in Etudes sur les sociologues classiques, Paris, Puf, Quadrige, pp. 219-260 ; 116

La théorie de Pareto meilleure que trois de ses concurrentes 116

L’acteur chercher à confirmer ses convictions 117

Le producteur de dérivations nourrit une demande de légitimation de valeurs par de nouveaux groupes sociaux 117

Un acteur connaissant ses objectifs mais pas sa justification peut également demander une dérivation 117

« Rationnel » : comportement cherchant le moindre coût 118

« Rationalité limitée » : lorsque les informations et calculs de l’acteur ne sont pas fiables 118

On peut voter à droite parce que la gauche semble plus préoccupée de principes que des conséquences de leur application 118

La rationalité peut être fondée sur des dérivations 118

L’action de gauche, basée sur de grands principes généreux, peut avoir des conséquences redoutables 118

Les différences d’analyse de « l’idéologie » selon Pareto et Marx 119

L’idéologie ne s’oppose pas au savoir mais au contraire s’en nourrit 119

Comment les sciences sociales suggèrent la lutte des classes 119

Comment la théorie de l’évolution a pu dériver en darwinisme social 119

Le lecteur d’une théorie ne perçoit pas son invalidité parce que toutes ses conditions ne sont pas explicitées, parce qu’il ne dispose pas de ressources cognitives suffisantes et parce qu’il recherche ce qui conforte ses opinions 119

La dérivation naît naturellement de la théorie par oubli des détails 120

« L’idéologie » naît de propositions fragiles érigées en croyances collectives 120

GUILLO Dominique, 1999, « Théorie des résidus et sociobiologie : un regard critique », in Bouvier Alban (dir.), Pareto aujourd’hui, Paris, Puf, Sociologies, pp. 293-325, Extraits choisis et discutés ; 120

Spencer, précurseur d’une sociologie naturaliste 120

Spencer, moniste non-ultra-naturaliste, demeurant rationaliste 120

Les « résidus » parétiens, croyances « viscérales », liées à l’organisme 120

Joseph Lopreato rapprochant théorie des résidus et sociobiologie 121

Les résidus parétiens ne sauraient être des sentiments issus de l’évolution 121

La sociobiologie de Wilson confuse sur la distinction entre affects, représentations et actions 121

Lopreato voyant dans la théorie des résidus une anticipation du « biogramme humain » 121

Pareto et la sociobiologie tous deux naturalistes 121

Pareto et la sociobiologie opposés au « biais rationaliste » 121

La sociobiologie confirmerait Pareto parce que celui-ci supposait une hérédité des sentiments (!) 122

Une identité de démarche dans l’établissement de relations entre phénomènes culturels et comportements biologiques 122

Les « résidus » comme « manifestations culturelles de sentiments et d’instincts » 122

La classe de résidus, de « l’instinct des combinaisons » comme « sentiment d’innovation » et facteur de changement social 122

Sentiment de « similitude et d’opposition », recherche de la ressemblance et « instinct tribal » 122

La classe des résidus de « persistance des agrégats » comme contrepoids à « l’instinct de combinaison » 123

Classes de « l’intégrité de l’individu » et de « résidus en rapport avec la sociabilité » : sentiments d’égoïsme et de sociabilité 123

« Sentiments égoïstes » 123

L’adhésion égalitaire, en réalité motivée par des sentiments égoïstes 123

« Sociabilité » et altruisme 123

L’action ou le discours altruiste sincère dissimulant des ressorts naturels égoïstes 124

Les résidus ne constituent pas en eux-mêmes des sentiments ni des instincts 124

Lopreato assimile abusivement les résidus aux sentiments 124

Les résidus parétiens ne sont que des représentations exprimant des sentiments 124

Les résidus parétiens ne sont pas des actions ni des comportements 124

Les « résidus », prémisses implicites d’un raisonnement 124

« L’instinct » chez Pareto peut être inné comme acquis, pourvu que ses motifs soient inconscients 125

Quels types de résidus sont-ils naturels ? 125

Généralité, diversité et contradiction des instincts naturels 125

Guillo : les sentiments associés à ces instincts sont faiblement évolutionnistes et expliquent mal les croyances et les comportements 125

Guillo : le « résidu » parétien ne peut pas être darwinien parce qu’il n’y a pas de différences génétiques entre les peuples ou les classes sociales 126

De petites différences comportementales naturelles, entre les supposés « esprit d’un peuple » et identité de tous les peuples (Note du ch.) 126

La non-hérédité d’un sentiment n’implique pas sa non-innéité (note du ch.) 126

Pareto : un trait de comportement n’est pas entièrement dû à la nature 127

Pareto (selon D. Guillo) serait étranger au naturalisme comportemental parce qu’il reconnaît la mobilité des caractères entre classes sociales 127

Selon D. Guillo, le naturalisme de Lopreato ne peut pas expliquer la mobilité des résidus 127

Guillo : certains résidus, pour Pareto, n’apparaissent pas utiles pour l’homme, et notamment celui de la « religion humanitaire » 128

Selon D. Guillo, l’imperfection du darwinisme réfute une origine naturelle des résidus 128

Pareto se distinguerait de la sociobiologie et proposerait plutôt une « théorie cognitiviste de la connaissance » 129

Guillo : Pareto se faisait plus sociobiologiste qu’il n’était, par hostilité à l’intellectualisme 129

La sociobiologie déniant la rationalité de l’acteur 129

Les sociobiologistes nieraient la psychologie 129

La sociobiologie empêcherait notamment de discerner différentes motivations d’un même effet de comportement 129

Les résidus, parfois sentiments, parfois inclinations profondes 130

Le résidu égalitaire, revendication de privilèges 130

Le résidu est ce qui est présent à la conscience, indépendamment du sentiment 130

Connecter le social au biologique nécessite une théorie psychologique intermédiaire 130

Le politicien égalitariste est intéressé 130

Selon D. Guillo, une explication naturaliste des comportements et des valeurs est réfutée par la variabilité individuelle 130

Relatives indétermination et ambivalence de la notion de « résidus » 131

Aspect naturaliste de la théorie des résidus 131

Contre le naturalisme dogmatique, pour le rationalisme 131

VALADE Bernard, 1999, « La ‘science sociale’ dans le Cours d’économie politique de Vilfredo Pareto », in Bouvier Alban (dir.), Pareto aujourd’hui, Paris, Puf, Sociologies, pp. 74-84, Extraits choisis et discutés ; 131

Pareto jugeant « nécessaire » le renouvellement de l’élite 131

Pareto distingue nettement la diversité de potentialités, la diversité de valeur et le choix de gouvernants 132

Pareto pessimiste sur les conséquences humaines d’un État-providence 132

Homogénéité et despotisme 132

Forme ondulée de l’évolution sociale 132

Envie de l’homme social 132

L’inégalité des revenus, expression de la nature plus que de la conjecture politique 132

Les sources et références des conceptions parétiennes sur l’inégalité de revenus 132

Le socialisme, paupérisateur du peuple 133

La diversité native, cause de la courbe des revenus 133

Différentes idéologies passionnelles inspirées par l’ignorance et le simplisme 133

Pareto, libéral contre le socialisme de l’École de Lausanne 133

Pareto, estimant une relative stabilité des inégalités de revenu 133

BOUDON Raymond, 1999, Vox Populi Dei ? Le « spectateur impartial » et la théorie des opinions, Les travaux du GEMAS n° 8 ; 134

La Vox Populi poursuit-elle l’intérêt général ? 134

L’individu politique, partagé entre passion et spectateur impartial 134

C’est l’agrégation de spectateurs impartiaux qui forme la Vox populi, vox dei 134

Le premier biais : celui de l’intérêt 135

Pour Tocqueville, l’opinion à court terme est biaisée, mais se dégagent à long terme des valeurs favorables au bien commun 135

RB : l’esclavage devient illégitime 135

Certains intérêts individuels peuvent aussi être généreux 136

L’esprit de communauté commence par exclure 136

Le fonctionnaire a des croyances de fonctionnaire, flatteuses et économiques et lui 136

Le libéralisme peu cultivé par les hommes politiques, y compris de droite, parce qu’une carrière politique est facilitée par le fonctionnariat 136

Les enseignants français, protégés et flattés par le corporatisme de leurs syndicats, aux dépends de l’éducation des élèves et de l’intérêt général 137

Contradiction entre particularisme et universalisme de la communauté homosexuelle 137

La machine n’engendre pas de chômage et l’État n’est pas le seul régulateur social 138

Quand Nicole Notat transgresse des visions communautaristes pour s’ouvrir à l’intérêt général 138

L’indulgence d’un Robert Hue à l’égard des privatisations montre son ouverture à l’intérêt général 138

Le scandale du Crédit Lyonnais brisa le mythe des nationalisations 138

L’ouverture d’un leader politique à l’intérêt général rehausse son crédit 138

La vision du monde social par l’individu est influencée par sa fonction 138

Le développement de l’esprit critique, objectif de l’école 138

Pareto : l’influence d’une théorie repose sur son utilité avant que sur sa vérité 139

La croyance selon laquelle les pays pauvres le sont parce qu’ils sont exploités par les pays riches 139

La théorie de la domination internationale utile pour l’idéologie égalitariste ambiante 139

David Landes : la cause de la richesse ou de la pauvreté d’un pays lui est intrinsèque 139

Le relativisme, scepticisme absolu motivé par l’égalitarisme 139

Le pseudo-remède contre les inégalités scolaires : le pédagogisme 139

Le pédagogisme répondant à une utilité axiologique 139

Nietzsche et Scheler : l’évaluation d’une idée dépend du sentiments qu’elle nous procure 140

Scheler moins que Nietzsche considère la responsabilité du ressentiment dans la diffusion d’idéologies 140

Nozick : les intellectuels sont anti-capitalistes par ressentiment d’être « sous-payés » 140

L’opinion française peu sensible à la question de l’impôt parce que l’impôt visible ne concerne qu’une minorité 140

Un employé licencié ne peut pas comprendre les possibles effets positifs des licenciements 140

L’effet consensualiste : l’expression hypocrite et lâche de valeurs conformistes 140

Le relativisme, relevant du consensualisme 141

Des sondés faussement sandinistes aux résultats de sondage erronés 141

Les Chinois sondés sont massivement satisfaits de leurs institutions 141

Les gens appuient bien souvent leur opinion sur la foi de celle des autres, et ainsi de suite, sans garantie de fondement 141

Des faux « experts » en éducation ont entraîné la ruine su système éducatif 142

Selon Hardin, une valeur universelle n’a de force que lorsqu’elle rencontre l’intérêt des protagonistes 142

Le spectateur actuel est unanimement favorable à Antigone contre Créon parce qu’il est impartial et défend des valeurs universelles 142

Nous sommes impartiaux par rapport à la situation d’acteurs d’un passé lointain 142

Le « progrès moral » serait alimenté par une décantation des valeurs passées au filtre de l’impartialité causée par le recul historique 143

Pour Weber, il y aurait un « progrès moral », produit par une « rationalité axiologique » compatible avec les valeurs du spectateur impartial 143

La clémence à l’égard du communisme est probablement le fait de nombreux acteurs partiaux 143

Une discussion n’aboutit au bien commun que selon son nombre de spectateurs impartiaux 143

Selon Weber, il existe une avancée des valeurs objectives 143

L’existence du pharisaïsme est la preuve de celle de valeurs impartiales 144

Une théorie des opinions qui dépasse et la supposition de mécanismes occultes, et le modèle utilitariste 144

Quelques pistes bibliographiques 144

DEMEULENAERE Pierre, 1999 (Société française de sociologie, 1997), Naturalisme, causalité et rationalité dans la description économique et sociologique de l’action, publications du GEMAS n° 10, CNRS-Sorbonne, lecture sélective et critique ; 145

Il y a deux directions possibles, non antagonistes, du matérialisme cognitif : la première est que la pensée est un phénomène matériel ; la seconde est un « causalisme » ou un « mécanisme » de l’action 145

Remarque : un neurone est-il un « phénomène » à proprement parler ? 145

Précisions sur les notions de « passé », de « futur » et de « possible » 145

Remarque : autres formulations possibles de « passé », « futur » et « possible » 145

Pharo : il est impossible de lire une pensée dans les neurones 146

Objection : est-il théoriquement impossible de « voir » une pensée ou de « lire » une pensée dans les neurones ? 146

P. Demeulenaere (ou Pharo) : les concepts abstraits n’ont pas de réalité matérielle dans le cerveau, parce qu’ils ne sont pas en contact avec des objets concrets perçus par le sujet 146

Remarque : quand bien même recouvrant un concept abstrait, une idée se manifeste toujours de façon matérielle dans le cerveau 146

Le contenu de pensée reste inaccessible à la description neuronale 147

Précision : cette accessibilité n’est impossible qu’en pratique 147

Inversement, la description neuronale est inaccessible au contenu de pensée 147

Précision : ceci ne semble pas inaccessible 147

Concevoir un « événement mental » sans langage 147

Suggestion : une situation a-langagière permettrait mieux encore de rendre compte de l’irréductibilité du physique au mental 147

Il y a deux niveaux de causalité dans l’action : l’action est influencée par le « caractère » naturel du sujet ; l’action est déterminée par les motifs 147

L’intuition humienne d’influence de l’action (ou de l’intention) par le tempérament naturel de l’acteur est-elle aujourd’hui invalidée ? 148

Remarque : actualité et importance du naturalisme comportemental de Hume 148

Il serait utile de vérifier empiriquement la suggestion par Hume selon laquelle le « caractère » naturel influence l’action (dans sa variabilité) 148

Idée : un sujet de thèse sur l’influence naturelle de l’opinion 148

L’acte, le choix, la liberté et le hasard 148

Deux définitions par Hume de la « cause » 149

[Chez l’homme, l’intention I, devant mener logiquement à une action A, évalue en dernier ressort les conséquences, le degré d’adéquation et d’acceptabilité de cette action par rapport à l’intention, et peut se trouver déboucher sur une action B, différente (ou C, etc...). Différemment, dans le monde physique, la cause n’évalue pas son effet.] 149

L’intention est-elle la cause de l’action ? L’exemple du salut de l’ami 149

Question : les variabilités « ex ante/ex post » ne se résument-elles pas à une variabilité dans l’emprunt de la sphère consciente par le processus cognitif ? 149

Possibilité théorique mais non possibilité pratique de réduire les raisons à des causes 150

Précision : l’éliminativisme d’une P. Churchland est-il faux parce que non vérifiable ? 150

La raison se réduit-elle à l’intention ? 150

L’obéissance à un ordre a ses raisons non pas dans l’ordre mais dans le choix de lui obéir 150

Question : l’auteur parvient-il, contre Davidson, à distinguer entre « raison » et « intention » ? 151

Quelques références bibliographique : 151

Un point sur la théorie du « choix rationnel » en 2001 151

La théorie du « choix rationnel » : toute action poursuit notre intérêt 151

Des critiques culturalistes, structuralistes... 151

Les limitations de la rationalité (Boudon, Olson...) 151

Th. Schelling  : l’agrégation de micro-actions individuelles 151

La résistance du bras à l’eau froid, modulée selon son enjeu 152

Friedberg : l’individu le plus « rationnel » qui soit a toujours des croyances 152

Le modèle de l’homo oeconomicus est limité mais n’a pas encore d’alternative 152

Remarque : pertinence du « rational choice », avec une limite cognitive, mais également avec une limite naturelle et comportementale 152

III. Philosophie politique 154

La « philosophie politique » : Magazine Littéraire n° 380, octobre 1999, Dossier sur la philosophie politique, pp.18-73 ; 154

Renouveau de la philosophie politique depuis le déclin du communisme et l’apport de John Rawls 154

Entretien avec Alain Renaut 154

Le déclin des années 60 154

La philosophie politique reprend la place de la sociologie, qui a perdu ses prétentions finalistes 154

La fonction de la philosophie politique 155

Merleau-Ponty, Sartre et le trajet marxiste 155

Les auteurs et événements du renouveau : Arendt, Aron, Lefort, Castoriadis, Furet, Solidarnosc, chute du Mur 155

L’initiateur : Francois Furet 155

L’institut Raymond Aron, creuset du renouveau 156

Ricoeur et Boudon : seuls à s’extirper de la séduction exercée par les théories de la domination et à considérer Rawls 156

Le propos de « la théorie de la justice », de Rawls : une inégalité acceptable par tous 156

Rawls contre les « libertariens » et « communautariens » 156

Les communautariens : de « droite » et de « gauche » 157

Y a-t-il un « droit des groupes » ? 157

Les tâches de la philosophie politique 157

La philosophie politique, issue d’une occultation par le marxisme de la politique dans le champ de la philosophie 157

Une philosophie politique moins prophétique et militante 157

Qu’est-ce que la « philosophie politique » ? 157

La philosophie politique n’est pas une « branche régionale » de la philosophie 158

La philosophie politique n’est pas un assemblage d’idées politiques 158

À la fois ce qui est et ce qui doit être 158

La pensée politique moderne issue de la philosophie moderne 158

Le danger totalitaire, par Pierre Hassner 158

Quelques ouvrages essentiels 159

Furet : l’analyse des illusions égalitaires 159

Rawls : un degré d’inégalité acceptable par tous 159

Hayek : nulle intervention de l’état ni nulle redistribution des richesses ne sont moralement défendables 160

Nozick : la moindre intervention de l’État nuit à la dignité individuelle 160

Sandel : l’individu rawlsien a une vie pauvre et sous-estime l’idée de « bien commun » 161

Walzer : « l’égalité » comme distribution des biens de domination entre différentes « sphères » 161

Max Weber : de la nécessaire distinction entre l’idéal et le réel 161

Le désenchantement programmé 162

Pierre Rosanvallon : poursuivre l’analyse du totalitarisme pour penser la démocratie 162

Evelyne Pisier : permanence de la préoccupation démocratique après la chute du communisme 162

Habermas : un projet émancipateur par le « droit à participer à la puissance politique » 163

Le parcours critique de Claude Lefort 163

L’aventure de la revue « Socialisme ou Barbarie » 163

Bernard-Henri Lévy : les nouveaux philosophes remirent complètement en question le bien-fondé d’une révolution 164

La renaissance de la philosophie politique aux États-Unis 164

Ackerman : le cas d’école de l’invention de la société 164

La justice sociale selon Ronald Dworkin 164

Tradition libérale, critique anti-libérale et débat 165

Ricoeur ouvert à la philosophie politique anglo-saxonne 165

Du libéralisme 165

Raymond Aron, « libéral » 165

Histoire et principes du libéralisme 166

Radicalité et modestie 166

Les fondements du libéralisme 166

Les ennemis du libéralisme 166

La non religiosité du libéralisme 166

Individualisme méthodologique mais pas concurrence 166

Figures et actualité du libéralisme 167

Giddens : le dépassement de l’axe gauche-droite et la pérennité du débat 167

Des revues de philosophie politique 167

SEN Amartya, 2000, Repenser l’inégalité, Paris, Seuil (288 p., 130 F) : extraits choisis et titrés d’un article paru dans Sciences Humaines n° 109, octobre 2000, pp. 46-47, sous la plume de Sylvain Allemand ; 168

SEN : toutes les théories sur la justice, même libertarienne, sont égalitaires 168

Différentes acceptions de l’égalité selon ces théories 168

Rawls, ré-introducteur de l’égalité des chances 168

Rawls occulte la diversité naturelle des hommes 168

L’égalité des biens premiers ne garantit pas l’égalité des libertés 169

La « capabilité », possibilité de choisir une vie jugée positive 169

Les indicateurs « objectifs » actuels de richesse ou de pauvreté ne disent rien du sentiment de bien-être des sujets 169

Différentes indices montrent que le bien-être est indépendant du niveau de richesse 169

La capacité de bien-être dépend de son coût au sein d’un pays plus que de la richesse relative de ce pays 169

La liberté apparente n’est pas forcément un gage de bonheur 169

Le bonheur consiste aussi en la possibilité d’agir pour le bénéfice d’autrui, ou « liberté d’agent » 170

L’égalitarisme et la redistribution, insuffisants à la justice 170

La démocratie et la liberté de presse garants du bien-être général 170

Comte-Sponville André, 1998, La sagesse des Modernes, dix questions pour notre temps, Laffont, chap. 7 : "Y a-t-il une beauté moderne ?", p.377. 170

Progrès scientifique et "progrès" politique, selon André Comte-Sponville 170

Gurrey Béatrice, 2000, « Ecole diversifiée, école inégalitaire », Le Monde, jeudi 6 janvier, p. 13 ; 171

IV. Diverses réflexions du thésard 172

Les inégalités sociales 172

Constance historique des "classes sociales" 172

Sagesse intuitive des sociétés hiérarchiques quant à la pérennité de l’inégalité sociale... mais laquelle se combine en réalité à une mobilité individuelle 172

De l'origine de l'inégalité selon Rousseau 173

L’idéologie égalitaire 173

Mettre des mots et des faits scientifiques sur l'intuition d'impossibilité du rêve égalitaire communiste 173

Les grands mythes contemporains : pensée immatérielle, égalité des hommes, progrès moral 174

Science et morale 174

Les multiples (et réciproques) paradoxes des rapports entre la politique et la science 174

Le malentendu du savoir et de la morale 176

Le paradoxe du savoir scientifique et de l’engagement politique 176

« L’intelligence », l’inné & l’acquis, « l’hérédité » de l’intelligence 176

La « question-politique-piège » de « l’hérédité de l’intelligence » 176

Antropologie des croyances 177

La « sélection naturelle » vue a tort comme une concurrence sociale 177

Représentations animistes et finalistes de la « sélection naturelle » 177

Une réponse donnée à un sondage n’est que « l’effet-seuil » d’un faisceau de valeurs élémentaires contradictoires 177

Croyances non seulement « vraies » ou « fausses », « utiles » ou « inutiles », mais également jugées « dangereuses » ou non 178

Biologie, évolutionnisme 179

Les tempéraments humains ont de fortes chance de se retrouver chez les « animaux » 179

L’hypothèse biologiste de la culture est-elle « réductrice » ? 180

Nature « culturelle » ou biologique de la « culture » : la question ontologique 181

Le scepticisme sociologique, l’impossibilité égalitaire 181

Pourquoi, malgré le fort pouvoir de l'éducation sur le développement de l'intelligence, il semble impossible de réduire les inégalités scolaires et sociales 181

Quel est le lien entre une particule cosmique gamma et John Rawls ? La philosophie politique a-t-elle un pouvoir sur l’espèce humaine ? 182

Le dépassement de la détermination biologique native et de l’impossibilité égalitaire 184

Que la morale admette les faits scientifiques et les intègre pour se renouveler 184

La « justice sociale » 184

La définition rawlsienne de la « justice » établie dans le cadre théorique de la « position originelle » a-t-elle une validité pratique ? 184
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