Bibliographie du dossier sur la philosophie : 21 Weber et le discernement du bien et du vrai dans "Le Savant et le politique" 21 Comte-Sponville André, 1995, interview à Sciences Humaines, janvier, pour 1994, Valeur et Vérité;








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Christophe CHOMANT

Thèse de sciences de l’éducation

sous la direction de M. Jacques NATANSON

Université de Rouen, Année 2002-2003


Note de recherche en sciences humaines
Volume 5
Épistémologie, anthropologie des valeurs

et croyances, philosophie politique

OUTIL POUR UNE RECHERCHE EN THÈSE DE DOCTORAT

sur la question des inégalités socio-scolaires, de la diversité cognitive

et de la philosophie de la justice
Structure générale


I. Épistémologie et philosophie générale 18

II. Anthropologie des valeurs et des croyances 25

III. Philosophie politique 154

IV. Diverses réflexions du thésard 172



Sommaire détaillé


Introduction, présentation, justification 17

I. Épistémologie et philosophie générale 18

Les courants de la philosophie au xx° siècle : 18

Positivisme logique (1925-1940) : 18

Philosophie des sciences (1950-1965) : 18

Philosophie analytique (1950-1965) : 19

Philosophie de l'esprit (1975-) : 19

Phénoménologie (1925-1940) : 19

Philosophie morale (1975-) : 19

École de Franfort (1930-1945) : 19

Structuralisme et Déconstruction (1955-1970) : 20

Mots-clés : 20

Transcendantalisme (1830-1895) : 20

Pragmatisme : 20

Philosophie analytique et néopositiviste : 20

Postmodernisme : 21

Bibliographie du dossier sur la philosophie : 21

Weber et le discernement du bien et du vrai dans "Le Savant et le politique" 21

Comte-Sponville André, 1995, interview à Sciences Humaines, janvier, pour 1994, Valeur et Vérité ; études cyniques, Puf : « De la distinction nécessaire entre valeur et vérité ». 21

COMTE Auguste (1798-1857) et le positivisme, quelques notes par Jean-François Dortier, in Sciences Humaines n° 109, octobre 2000, pp. 42-44 ; 22

Le parcours aléatoire de Comte 22

Selon le rangement des sciences par Comte, la sociologie exige la maîtrise de la biologie 23

Une définition positive (non pas péjorative) du positivisme 23

Définition d’un positivisme personnel 23

II. Anthropologie des valeurs et des croyances 25

Séminaire de Dea de Raymond Boudon sur l’anthropologie des croyances et valeurs 25

Rapide panorama des sociologues de la connaissance classiques et modernes ayant travaillé sur la notion de croyance 25

Sociologie classique 26

La théorie judicatoire d’Adam Smith 26

Nouvelles illustrations de la théorie judicatoire 29

Vilfredo Pareto 34

Scheler, Mannheim, Tocqueville 37

Émile Durkheim 42

Max Weber 47

NOZICK Robert, 1974, Anarchy, State and Utopia, Basic Books ; trad. 1988, Anarchie, État et utopie, Paris, Puf, Libre-échange ; « Egalité, envie, exploitation, etc. », pp. 286-337 ; 53

L’inégalité des chance ne s’inscrit pas dans le cadre d’une course 53

Le choix préférentiel est-il injuste ? 53

L’inégalité de condition est-elle injuste ? 53

Il ne peut pas y avoir de « droit » à revendiquer ce sur quoi d’autres individus ont des droits 54

L’hypothèse de Nozick sur l’origine du sentiment égalitaire : l’envie et l’amour-propre 54

« Envie » et « jalousie » 54

Une justification objective, non psychologique, de l’égalité, manque de fondements 54

Pourquoi les résultats de l’autre affectent-ils mon amour-propre ? 55

Nous nous mesurons à l’aune d’autrui 55

L’inégalité de condition blesse l’amour-propre justement parce qu’elle est méritée 55

Le ressentiment d’inégalité est comparatif 55

Le progressisme naïf de Léon Trotsky 56

L’éradication de l’inégalité ferait-elle disparaître le sentiment d’infériorité ? 56

Les gens se jugent par ce qui les différencie le plus des autres 56

Fréquenter une université prestigieuse : l’amour-propre est relatif et changeant 56

Et « bien réussir » par rapport à ses propres capacités ? 57

Est-il possible d’égaliser l’amour-propre, l’impression de justice ? 57

L’égalisation des hommes égaliserait-elle l’amour-propre ou au contraire aiguiserait-elle l’envie ? 57

Serait-il utile d’interdire chez les uns ce qui rend les autres malheureux ? 57

Le fait de recevoir des ordres n’est pas dévalorisant, malgré le sens commun 57

Qu’est-ce qu’un travail satisfaisant ? 58

Un régime socialiste a-t-il le droit d’imposer à tous une façon « idéale » de travailler ? 58

Contre Marx, il n’y a pas « exploitation » des travailleurs dans un système capitaliste 58

Capitalisme, socialisme et obligation de partage du risque 58

Celui qui ne risque rien préfère partager les gains plutôt plutôt que les pertes d’autrui 58

RUSE Michael, 1991 (trad. 1993), « Une défense de l’éthique évolutionniste », in CHANGEUX J.-P. (dir.), Fondements naturels de l’éthique, Paris, O. Jacob, pp.36-64. 59

Éthique : la distinction nécessaire entre l’éthique normative (comme la philosophie politique) et la « méta-éthique » (pourquoi l’éthique) 59

Ce qu’on appelle « darwinisme social » 59

L’évolutionnisme traditionnel : sélection et légitimité de cette sélection 59

De l’évolutionnisme traditionnel au libéralisme politique 60

L’écologisme du sociobiologiste Wilson 60

Moore et Hume : la description de la réalité empirique ne peut pas impliquer une prescription 60

Le finalisme, le progressisme, l’historicisme, le prométhéisme des évolutionnistes traditionnels (Spencer, Kropotkine, Wilson) 60

Du constat à la valeur 61

De la valeur à la prescription politique 61

L’évolutionnisme moderne : l’évolution ne va nulle part 61

Le « progrès » de l’évolution : une illusion anthropocentrique 61

Il n’y a pas de « progrès » de l’évolution et rien de peut justifier les thèses normatives issues de l’évolutionnisme traditionnel 61

Il y a désormais de bonnes raisons de croire que non seulement la « socialité » mais également la « morale » sont des produits de l’évolution 62

« L’altruisme » biologique ; un acte spontané, généreux et risqué 62

Les révolutions récentes en éthologie : la coopération est plus bénéfique que le conflit 62

La coopération : un comportement indispensable à la survie de l’homme 62

Le comportement altruiste n’est pas « monomorphe » 62

« L’altruisme inné » 62

Bénéfice et coût de l’altruisme inné 63

Probabilité et nécessité d’un altruisme éduqué 63

L’improbabilité d’un humain « tout rationnel » 63

« L’altruisme » humain : mélange d’inné et de réflexion 63

Les « stratégies câblées » : l’instinct de coopération mais aussi la moralité 63

L’avancée des arguments biologistes en sciences sociales 63

« L’altruisme » humain aussi chez les animaux 64

La moralité humaine, « contrat » imposé par les gènes 64

Le philosophe moderne du contrat : Rawls 64

Le « voile d’ignorance » de la « position originale » 64

La société idéale ne suppose pas l’égalité de conditions de revenus et suppose même une certaine inégalité 64

La moralité définie par Rawls conviendrait à une moralité évolutionniste 64

Rawls : une stabilité des principes de la justice cousine de notre stabilité de la diversité cognitive et du degré de stratification sociale 65

Rawls : une origine biologique et évolutionniste du sentiment de justice est tout à fait probable 65

Le comportement moral s’amenuise en s’éloignant du cercle familial et spatial 65

La conception évolutionniste de l’éthique n’a pas d’implication éthique 65

Croyance crypto-religieuse et signification de la vie 65

La morale, illusion collective des gènes 66

Hormis une posture finaliste, il n’y a pas de raison de confondre éthique évolutionniste et éthique normative 66

L’éthique normative existe bien mais n’a pas de fondement biologique 66

« Contrat » normatif, absence de fondement normatif et « scepticisme éthique » 66

Analogie avec David Hume : « Déterminisme et libre arbitre » : un « compatibilisme » entre les deux 66

Le paradoxe et les difficultés de l’évolutionnisme moral 66

Quelques références bibliographiques : 67

Distinction de l’évolutionnisme et du normatif pour les yeux humains (N.du Th.) 67

Luc Ferry : « Neurobiologie et philosophie : y a-t-il des fondements naturels de l’éthique ? », in 1998, La Sagesse des modernes, dix questions pour notre temps, Laffont, pp. 71-91 68

Des fondements naturels de l’éthique 69

Une révolution philosophique 69

Le naturalisme « dur » 69

Une posture coûteuse pour l’homme 69

La posture naturaliste accordant une part au « culturel » n’est-elle pas illusoire ? 70

Le problème posé par le « biologisme » à la philosophie transcendantale : comme l’historicisme, en niant la liberté et la transcendance, il abolit la spécificité de l’humain 70

Pourquoi l’inné paraît de droite et l’acquis de gauche 70

L’innéisme est associé au fascisme et à l’aristocratisme 71

La difficulté de parler de biologie 71

La sociobiologie qualifiée de « fasciste » 71

Jean-Pierre Changeux et le fondement naturel d’une éthique universaliste 71

La connaissance (récente) de causes génétiques à des comportements 72

Détermination génétique du mental et déchiffrage du génome 72

Axel Kahn : complexité mais réalité des déterminismes génétiques des comportements humains 73

Jacques Ruffié : le déterminisme génétique de la schizophrénie 73

La peur des partisans de l’acquis par les biologistes : ce qui est su mais tû 73

Les déterminismes de comportements : ampleur et bouleversements philosophiques 73

La concurrence de la biologie avec les sciences humaines 74

L’argument antibiologiste : une inspiration extrême-droitière supposée 74

Trois prises de position sur les rapports de l’inné et de l’acquis 74

Le « tout inné » 74

Un « tout inné » issu du matérialisme, de filiation marxiste 74

L’imperfection des corrélations statistiques montre l’erreur du « tout inné » 74

Les partisans du « tout acquis » 75

Une position intermédiaire 75

Les questions et perspectives philosophiques et politiques posées par le déterminisme biologique : 75

Plutôt que le mensonge pieux, la vérité courageuse, pour la démocratie et la dignité humaine 75

André Comte-Sponville : « Neurobiologie et philosophie : y a-t-il des fondements naturels de l’éthique ? », in 1998, La Sagesse des Modernes, dix questions pour notre temps, Laffont, pp. 92-110 76

Tout est naturel, le « culturel » y compris 76

Pourquoi vouloir fonder ce qui est ? 76

Comment fonder ex nihilo ? 76

L’éthique ne peut pas plus être fondée par la neurobiologie 77

Hume : le fait ne peut fonder la valeur ; Moore et le « sophisme naturaliste » 77

La nature et la science sont factuelles, et non « bonnes » (ou « mauvaises ») 77

Indépendance de la vérité biologique et des valeurs humaines 77

Exemple de l’homosexualité 78

Les animaux et nous 78

Les gènes n’abolissent pas la liberté éthique de l’homme 78

La morale est innée et acquise 78

Évolution darwinienne et constitution de la morale chez l’homme 78

Michael Ruse et Yvon Quiniou : l’éthique est un comportement naturel mais son contenu ne peut pas se fonder sur des arguments scientifiques 79

Les comportements altruistes sont des produits de l’évolution darwinienne... 79

...autant que les comportements égoïstes 79

La morale est biologique, mais ni justifiable ni refutable 80

Morale et biologie sont indépendantes 80

La nature n’indique pas la morale 80

Évolution naturelle et émergence de la morale : l’erreur de la sociobiologie 80

Patrick Tort : « l’effet réversif » 80

Être fidèle a la nature, c’est être fidèle a la culture, puisque la culture est un produit naturel 81

Darwin contre la « sociobiologie » 81

L’homme, ni divin ni transcendantal mais animal naturel 81

La justice ne peut être fondée, elle ne doit qu’être faite 81

La nature, origine fondamentale, « détermination en dernière instance », de la morale 82

Ce qui est « moral », selon la nature, la société ou la raison 82

Être « moral », c’est essayer de concilier, autant que faire se peut, les morales de types contradictoires 82

Luc Ferry et André Comte-Sponville : « Neurobiologie et philosophie : y a-t-il des fondements naturels de l’éthique ? » ; débat 82

Luc Ferry : la résistance de l’homme a la nature humaine est-elle naturelle ? 82

Valeurs morales : l’illusion des gènes 82

Comte-Sponville : le mal n’est pas le faux 83

L’illusoire impression de vérité de la morale 83

La raison a-t-elle besoin d’un fondement ? 83

Quatre propositions fondamentales 83

Ce qui est moral peut faire partie de ce qui est naturel 84

L’absence de fondements moraux admis comme des dogmes caractérise le débat démocratique 84

BOUDON Raymond, 1999, Le sens des valeurs, Paris, Puf, Quadrige, extraits choisis et commentés. 84

Le trilemme de Münchhausen 84

Le trilemme de Münchhausen et l’explication des normes et des valeurs : « fidéistes, sceptiques, décisionnistes, causalistes, rationalistes, absolutistes ». 85

L’explication biologique et naturaliste des valeurs morales : Michael Ruse 85

Des études sociales confirment le caractère « rawlsien » des acteurs 85

Typologie des théories des sentiments moraux 85

La croyance normative est permise par l’absence de contre-arguments plausibles, acceptables 86

De la détermination ou non du « degré de fonctionnalité des inégalités » 86

Les principes moraux sont indémontrables 86

Les principes moraux sont simplement applicables... ou non 86

Un principe moral peut changer, suite à une modification des idées 86

Se méfier des « causalités irrationnelles verbeuses » 87

Les traits moraux naturels, selon Wilson 87

Le « trait naturel » de « l’équité » ; le partage des 100 F, proposé par A, validé ou non par B 87

Pour Raymond Boudon, Wilson explique mal la variabilité des sentiments moraux 88

R. Boudon reproche au naturalisme de Wilson d’être tout aussi « causaliste » que le culturalisme 88

« Il existe un progrès en morale » 88

L’expérimentation rend obsolète certains principes moraux (comme l’hostilité au suffrage universel) 89

Pourquoi des sociétés traditionnelles prennent-elles des décisions à l’unanimité ? Pour des raisons rationnelles 89

Les différences de valeurs n’impliquent pas le relativisme 89

Le sentiment de justice n’est pas culturel mais universel ; ses variations expriment des différences de contexte 90

Le sentiment de justice influencé par la conjoncture 90

La disparité des correspondances diplôme-statut ne provoque pas de sentiments d’injustice 90

La variabilité des jugements de valeur dépend de leur possibilité d’application 90

Une « distribution idéale » des revenus est infondée et inapplicable parce qu’elle est le produit d’actions spontanées 90

Paramètres différents mais équations semblables 91

RB : la variabilité des sensibilités morales ne peut pas être expliquée par les gènes 91

RB ; le « sens intuitif des valeurs » de Scheler n’est pas satisfaisant 91

Le « fonctionnalisme » 91

RB : les sphères du vrai et du bien ne sont pas disjointes 91

Peut-on relativiser le nazisme ? 91

Ce qui choque la conscience collective : le fait d’une différence comme inégalité de valeur 92

L’inégalité : acceptée en sport, inacceptée en compétences cognitives 92

Les religions comme expressions symboliques de valeurs fondamentales 92

Tocqueville et Luckmann : le mythe de l’immortalité comme « transcendance » de l’homme par rapport à sa nature biologique [?] 92

Le relativisme, porte ouverte au mysticisme 92

Le relativisme a ruiné l’esprit critique et scientifique 93

Discerner entre ce qui est bénéfique et ce qui est excessif et dangereux dans le relativisme 93

La tâche des sciences sociales : théoriser les valeurs et expliquer les croyances 93

La cause de l’inégalitarisme et de l’égalitarisme selon Louis Dumont 93

Prééminence du culturalisme jusque chez les néo-marxistes, dont Bourdieu 93

Les sociologues culturalistes : un acteur « idiot culturel » absorbant les valeurs de son milieu 94

Horton et Spiro : les croyances des acteurs sont inspirées par des raisons « fortes », que l’observateur est en mesure de comprendre 94

L’inculcation ne fait que renforcer des raisons personnelles fortes 94

Le relativisme est une mauvaise façon de promouvoir l’égalité de dignité 94

L’explication des sentiments moraux, objectif essentiel des sciences sociales 94

L’origine biologique de la morale, selon Michael Ruse 94

R. Boudon : Ruse n’explique pas la diversité des sentiments moraux 95

L’explication de Ruse est analogue au structuralisme inconscient néo-marxiste 95

L’existence d’un sens moral, mais pas l’explication des réactions morales individuelles 96

Le courant actuel du naturalisme 96

La dimension politique du naturalisme 96

La remise en cause de l’art avant-gardiste est fondée sur des raisons « fortes » 96

Quelques propos d’épistémologues et critères de scientificité 96

Le « positivisme tempéré » de R. Boudon 97

Dualistes et moniste : la récurrence de la querelle sur la spécificité des sciences sociales par rapport aux sciences de la nature 97
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