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Un médecin accompagne souvent ses malades sur la durée. Son rôle de prévention et de surveillance est important : dépistage de risque de cancer pour le gynécologue, suivi des vaccinations pour le pédiatre, contrôles réguliers de la vision pour l'ophtalmologiste... il connaît bien ses patients et leur environnement (hygiène de vie, habitudes ou antécédents familiaux). Ce qui l'aide à comprendre leurs maux Les médecins doivent être capables d'établir des relations de confiance avec leurs malades. En plus de leurs compétences médicales et de leurs aptitudes développées dans la pratique de leur spécialité. Cette profession est riche en contacts, aussi bien avec les patients, qu'avec les confrères et les autres professionnels de la santé. Ainsi le pneumologue peut solliciter l'avis du radiologue, l'anesthésiste-réanimateur celui du chirurgien et des infirmiers du bloc opératoire.
Chimie - Industrie pharmaceutique, Fonction publique, Recherche, Santé - Social - Bien-être
Le Médecin, par définition, doit avoir des connaissances médicales très étendues pour dépister les affections de ses patients. De plus tous les médecins doivent se tenir au courant des évolutions de la médecine. Outre ses compétences médicales, un médecin possède des capacités d'endurance, aussi bien physiques que psychiques. Face à des pathologies en tout genre, équilibre personnel et sens de l'observation sont des qualités indispensables. Pour exercer ce métier, il faut, en plus d'être résistant, savoir faire preuve de patience, de compréhension et de tact. Intervenant tantôt dans l'urgence avec sang-froid, tantôt dans la durée avec patience, ce praticien doit être complètement responsable de ses actes. Soumis à un code de déontologie, il est tenu au secret professionnel. Sauf exceptions (actes de violence, épidémies...), il sait rester discret à propos de l'état de santé de ses patients.
Où l'exercer ?Lieux d’exercice et statutsDes échanges quotidiens Cette profession est riche en contacts, aussi bien avec les patients, qu'avec les confrères et les autres professionnels de la santé. Ainsi le pneumologue peut solliciter l'avis du radiologue, l'anesthésiste-réanimateur celui du chirurgien et des infirmiers du bloc opératoire. À l'hôpital et/ou en ville Près de 75 % des médecins spécialistes travaillent à temps plein, plusieurs jours par semaine dans les hôpitaux et les cliniques. Près de la moitié d'entre eux possède aussi leur propre cabinet en ville. Très souvent, ils effectuent alors, en parallèle, leurs consultations à l'hôpital. Les gardes et les astreintes à domicile sont fréquentes dans certaines professions comme chez les anesthésistes-réanimateurs, par exemple. À la tête d'un service À l'hôpital, le médecin spécialiste dépend d'un service lié à son domaine de compétences. Avec de l'expérience, il peut diriger cette unité en devenant médecin chef de service. Carrière et salaireSalaire du débutant De 1800 à 8500 euros brut par mois. Intégrer le marché du travailDes spécialités en déficit Actuellement, on compte plus de 105 000 médecins spécialistes en exercice. Avec les départs à la retraite, l'absence de médecins dans certaines régions, le relèvement du nombre d'admis en médecine, les perspectives d'emploi sont favorables aux futures générations. Certaines disciplines souffrent malgré tout d'une véritable pénurie : l'anesthésie-réanimation, la pédiatrie, la psychiatrie, la gynécologie-obstétrique et la chirurgie. Le Nord plus accueillant On note de grandes disparités d'emplois selon les régions. Ouvrir un cabinet dans le Nord de la France est beaucoup plus facile qu'à Paris ou dans le Sud ! Les petits hôpitaux de province intéressent moins que ceux des capitales... mais ils embauchent ! L'installation en médecin libéral nécessite, quant à elle, de lourds investissements. C'est pourquoi, il est souvent préférable de s'associer pour partager les charges financières... tout en maintenant une seconde activité à l'hôpital. Accès au métierAccès au métierAu moins 10 d'études sont nécessaires pour former un médecin spécialiste. Des études longues, organisées en 3 cycles, et qui débouchent sur le diplôme d'État de docteur en médecine, avec mention de la spécialité, délivré à l'issue de la soutenance d'une thèse. Niveau bac + 5 et plus
Exemples de formationsAprès BACbac + 9 et plus
En savoir plusTémoignagesGérald, anesthésiste-réanimateurPrendre en charge la douleur "Je consacre 60 % de mon temps à l'accueil des urgences et 30 % au bloc opératoire. Durant les 10 % restants, je fais de la réanimation avec le Samu. Avec l'anesthésie, on a un peu plus l'impression d'être un médecin qui soigne. Je peux faire connaissance avec mes malades et les suivre. Avant l'intervention, j'interroge le patient et je le rassure. En cas d'anesthésie locale, j'explique à l'opéré ce qu'on lui fait. Au réveil, je prends en charge sa douleur..." (03/07/2008) Ressources utilesConseil national de l'Ordre des médecins http://www.conseil-national.medecin.fr Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports http://www.sante.gouv.fr PublicationsPublications OnisepLes métiers du médical collection Parcours, Onisep parution 2011 Les métiers auprès des enfants et des ados collection Parcours, Onisep parution 2011 ![]() Haut du formulaire ![]() ![]() Précisez un mot clé: Sélectionnez un terme dans la liste ![]() ![]() Les champs marqués d'un * sont obligatoires ![]() ![]() ![]() Bas du formulaire ![]()
Gérald, anesthésiste-réanimateur :-"Je consacre 60 % de mon temps à l'accueil des urgences et 30 % au bloc opératoire. Durant les 10 % restants, je fais de la réanimation avec le Samu. Avec l'anesthésie, on a un peu plus l'impression d'être un médecin qui soigne. Je peux faire connaissance avec mes malades et les suivre. Avant l'intervention, j'interroge le patient et je le rassure. En cas d'anesthésie locale, j'explique à l'opéré ce qu'on lui fait. Au réveil, je prends en charge sa douleur..." Anonyme : « C'est rude surtout la première année : pendant 1 an ta vie se limite à manger, boire et réviser. Oublie tes amis et les sorties du samedi soir » ![]() Source : Onisef |
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