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Phys., IV, 215 a 2 ; V, 230 b 12; VIII, 255 a 2; et De Cœlo, IV, 1-5 ; II 296 b 27 ; IV, 308 a 34. 86 De Cœlo, IV, 310 a 34 : to d’ eis ton hautou topon pheresthai hekaston to eis to hautou eidos esti pheresthai. 87 Sur ces différences de qualité, voir l'ouvrage de Duhem, L'évolution de la mécanique, Paris, 1905, p. 197 et suiv. 88 Boltzmann, Vorlesungen über Gastheorie, Leipzig, 1898, p. 253 et suiv. 89 Dans un livre riche de faits et d'idées (La dissolution opposée à l'évolution, Paris, 1899), M. André Lalande nous montre toutes choses marchant à la mort, en dépit de la résistance momentanée que paraissent opposer les organismes. - Mais, même du côté de la matière inorganisée, avons-nous le droit d'étendre à l'univers entier des considérations tirées de l'état présent de notre système solaire ? A côté des mondes qui meurent, il y a sans doute des mondes qui naissent. D'autre part, dans le monde organisé, la mort des individus n’apparaît pas du tout comme une diminution de la vie en général », ou comme une nécessité que celle-ci subirait à regret. Comme on l’a remarqué plus d'une lois. la vie n'a jamais fait effort pour prolonger indéfiniment l'existence de l'individu, alors que sur tant d'autres points elle a fait tant d'efforts heureux. l'out se passe comme si cette mort avait été voulue, ou tout au moins acceptée, pour le plus grand progrès de la vie en général. 90 Nous avons développé ce point dans un travail intitulé : Introduction à la métaphysique (Revue de métaphysique et de morale, janvier 1903, p. 1 à 25). 91 Serkovski, mémoire (en russe) analysé dans l'Année biologique, 1898, p. 317. 92 Ed. Perrier, Les colonies animales, Paris, 1897 (2e éd.). 93 Delage, L'Hérédité, 2e édit., Paris, 1903, p. 97. Cf., du même auteur La conception poltyzoïque des êtres (Revue scientifique, 1896, pp. 641-653). 94 C'est la théorie soutenue par Kunstler, Delage, Sedgwick, Labbé, etc. On en trouvera le développement, avec des indications bibliographiques, dans l'ouvrage de Busquet, Les êtres vivants, Paris, 1899. 95 La partie de ce chapitre qui traite de l'histoire des systèmes, et en particulier de la philosophie grecque, n'est que le résumé très succinct de vues que nous avons développées longuement, de 1900 à 1904, dans nos leçons du Collège de France, notamment dans un cours sur l'Histoire de l'idée de temps (1902-1903). Nous y comparions le mécanisme de la pensée conceptuelle à celui du cinématographe. Nous croyons pouvoir reprendre Ici cette comparaison. 96 L'analyse que nous donnons Ici de l'idée de néant (pp. 275 à 298) a déjà paru dans la Revue philosophique (novembre 1906). 97 Kant, Critique de la raison pure, 2e édit., p. 737 - - Au point de vue du contenu de notre connaissance en général, ... les propositions négatives ont pour fonction propre simplement d'empêcher l'erreur. - Cf.. Sigwart, Logik, 2e édit., vol. 1, p. 150 et suiv. 98 C'est dire que nous ne considérons pas le sophisme de Zénon comme réfuté, par le fait que la progression géométrique où a désigne l'écart initial entre Achille et la tortue, et n le rapport de leurs vitesses respectives, a une somme finie si n est supérieur à l'unité. Sur ce point, nous renvoyons à l'argumentation de M. Évellin, que nous tenons pour décisive (Voir Évellin, Infini et quantité, Paris, 1880, pp. 63-97. Cf. Revue philosophique, vol, XI, 1881, pp. 564-568). La vérité est que les mathématiques - comme nous avons essayé de le prouver dans un précédent travail - n'opèrent et ne peuvent opérer que sur des longueurs. Elles ont donc dû chercher des artifices pour transporter d'abord au mouvement, qui n'est pas une longueur, la divisibilité de la ligne qu'il parcourt, et ensuite pour rétablir l'accord entre l'expérience et l'idée (contraire à l'expérience et grosse d'absurdités) d'un mouvement-longueur, c'est-à-dire d'un mouvement appliqué contre sa trajectoire et arbitrairement décomposable comme elle. 99 Platon, Timée, 37 D. 100 Nous avons essayé de démêler ce qu'il y a de vrai et ce qu'il y a de faux dans cette idée, en ce qui concerne la spatialité (voir notre chapitre III). Elle nous paraît radicalement fausse en ce qui concerne la durée. 101 Aristote, De Anima, 430 a 14 : kai estin ho men poioutos nous tô panta ginesthai, ho de tô panta poiein, hôs hexis tis, hoion to phôs ; proton gar tina kai to phôs poiei ta dunamei onta khrômata energeia khrômata. 102 De Caelo, II, 287 a 12 : tès eskhatès periphoras oute kenon estin exothen oute topos. Phys., IV, 212 a 34 : to de pan esti men hôs kinèsetai esti d’ hôs ou. Hôs men holon, hama tôn topon ou metaballei ; kuklôi de kinèsetai, tôn moriôn gar houtos ho topos. 103 De Caelo, I, 279 a 12 : houde khronos estin hexô tou ouranou. Phys.,VIII, 251 b 27 : ho khronos pathos ti kinèseôs. 104 Surtout nous avons presque laissé de côté ces Intuitions admirables, mais un peu fuyantes, que Plotin devait plus tard ressaisir, approfondir et fixer. 105 Voir, page 11. 106 Descartes, Principes, II, 20. 107 lbid., II, § 36 et suiv, 108 Dans un cours sur Plotin, professé au Collège de France en 1897-1898, nous avons essayé de dégager ces ressemblances. Elles sont nombreuses et saisissantes. L'analogie se poursuit jusque dans les formules employées de part et d'autre. |
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